Les bienfaits de l’argent colloïdal

Publié le : 22 novembre 20183 mins de lecture

L’argent colloïdal est une solution à base de 2 ingrédients l’eau et l’argent. On utilise depuis l’Antiquité les propriétés antimicrobiennes de l’argent. Depuis plus de 6000 ans, l’argent est utilisé comme antiseptique naturel. Ces vertus peuvent venir à bout de 650 pathogènes tels que les champignons, les bactéries et virus. Les formes et la posologie de l’argent colloïdal ont varié puisqu’on recense plus de 60 préparations dans la pharmacopée française. Il existe plus de 100 dans la pharmacopée américaine.

Usage externe d’une solution à base d’argent colloïdal

L’argent colloïdal peut traiter un nombre impressionnant de maladies. En plus d’être un remède préventif contre les pathologies de l’hiver, ce médicament traite toutes les inflammations. Il agit également pour soigner les problèmes de peau, les plaies en tout genre, les affections microbiennes ou bactériennes ainsi que les mycoses.

Le remède disponible sur le site www.institut-katharos.com peut soigner des problèmes de nez et de gorge, infection vaginale, maladies de la bouche, infection oculaire, des voies auditives… Précisons également que ce traitement agit sur les parasites des animaux. En vaporisant à la substance et en l’ajoutant à l’eau d’arrosage, on peut combattre les attaques des bactéries, champignons et parasites des plantes.

Comment l’argent colloïdal agit-il sur la santé ?

L’argent colloïdal agit sur l’organisme de 3 manières. Il peut s’agir d’oxydation catalytique. L’argent s’accroche de manière naturelle aux particules d’oxygène. Ces particules réagissent rapidement au groupement sulfhydryle. Elles permettent d’envelopper les bactéries et virus. Cette réaction favorise la respiration cellulaire. Elles fournissent l’énergie nécessaire à une solution pour fonctionner en produisant de l’adénosine triphosphate.

L’argent colloïdal réagit avec la membrane cellulaire des bactéries. Les ions d’argent s’accrochent à la membrane cellulaire de ces êtres vivants primitifs. Cette action bloque la respiration cellulaire. Pour soigner l’organisme, le traitement pénètre l’ADN des bactéries. En se liant au vecteur de l’hérédité des bactéries, il empêche la macromolécule des bactéries de se dérouler. Cela bloque le procédé de réplication de l’ADN.

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